Sommaire :
Qu’est-ce que le code ?
Le code ou « l’épreuve théorique générale » (ETG) est la première partie en vue de l’obtention du permis de conduire, et ce, peu importe la catégorie de véhicule que l’on souhaite conduire.
Depuis 2016, cet examen a été externalisé et est aujourd’hui organisé par des organismes privés comme la Poste, Dekra, SGS, le Bureau Veritas ou encore Pearson Vue.
Pour réussir cette épreuve, le candidat dispose d’une tablette et d’un casque audio. Pendant une demi-heure, il devra répondre à quarante questions. Il dispose uniquement de vingt secondes à chaque fois pour sélectionner la ou les bonnes réponses.
S’il souhaite obtenir l’ETG, il doit éviter de faire plus de 5 fautes lors de l’examen.
Comment avoir le code facilement ?
Connaître les différentes thématiques abordées
Lors de l’examen, le candidat sera confronté à quarante questions provenant d’une base de données qui en contient plus de 1000.
Ces questions sont tirées au sort de manière aléatoire et peuvent donc varier d’une ville à une autre, d’un centre à un autre et évidemment d’une session à une autre.
Toutefois, elles partagent un point commun. Ces questions abordent les 10 thématiques prévues par le législateur dont :
- Les règles de circulation routière (la signification des panneaux de signalisation, la distinction des lignes, les croisements, les dépassements, le stationnement, etc.) ;
- La route et les conditions de circulation la nuit, lors des intempéries dans les zones dangereuses, etc.
- Le conducteur et l’impact des médicaments, de l’alcool ou des stupéfiants sur la conduite ;
- Le partage de la route avec les autres usagers et les règles de bienveillance envers les piétons, les cyclistes ou les motocyclistes ;
- Des notions diverses liées aux obligations administratives et aux infractions prévues par le code ;
- Les premiers réflexes à adopter en cas d’accident (premiers secours) ;
- Les processus à effectuer lorsqu’on prend ou on quitte son véhicule ;
- La mécanique du véhicule ;
- La sécurité du passager et du véhicule,
- Les notions liées à l’environnement, l’éco-conduite, l’importance de l’entretien de son véhicule, etc.
La première étape pour réussir le code est donc de connaître à la perfection les différentes thématiques.
Multiplier les supports d’apprentissage
La seconde méthode pour obtenir facilement le code est de diversifier les moyens d’apprentissage.
En effet, les cours et les entraînements à l’auto-école peuvent ne pas suffire.
WIZBII Drive recommande d’utiliser également d’autres supports :
- Les livres spécialisés comme « le Code de la route pour les nuls » (Editions First) ou le classique « Code Rousseau » ;
- Les cours en ligne proposés par les sites internet ou par diverses plateformes de streaming comme YouTube ;
- Les exercices pratiques que l’on peut trouver dans les livres, sur les sites internet ou des vidéos en ligne ;
- Enfin, si vous passez du temps sur votre smartphone, il ne faut pas hésiter à télécharger les applications présentes sur l’App Store ou le Play Store. Ces applications proposent divers supports intéressants et permettent, grâce à des tests, de mettre les candidats dans des conditions similaires à celles du jour de l’examen.
De plus, certaines applications stockent les informations afin de réaliser des statistiques à chaque fois que l’utilisateur remplit un test.
Ces informations vont alors permettre au candidat de connaître ses points forts et ses points faibles afin d’insister sur une thématique en particulier.
Des astuces existent pour réviser gratuitement le code de la route et on vous explique comment.
Connaître les questions pièges
Enfin, la mémorisation et la logique ne suffisent pas à réussir facilement le code.
En effet, le législateur a inclus des « questions pièges » pouvant déstabiliser les élèves.
Si vous souhaitez réussir facilement l’épreuve théorique générale, il est conseillé de connaître et reconnaître ces questions.
Voici quelques exemples.
L’élément perturbateur
Les questions présentant un « élément perturbateur » qui nécessitent de regarder et analyser attentivement la photo de la situation.
En effet, le candidat devra parfois :
- Regarder les panneaux de signalisation ;
- Vérifier les rétroviseurs intérieurs et extérieurs ;
- Anticiper le comportement d’un piéton engagé sur une voie, un cycliste souhaitant changer de direction, etc.
La question de permission ou d’obligation
Dans d’autres situations, le candidat est invité à répondre à une question commençant par « je dois » ou « je peux ».
Le piège ici est de différencier ce que le Code de la route permet et ce que le Code de la route oblige.
Par exemple, la législation en vigueur permet d’actionner le klaxon en cas de danger, mais n’oblige pas le conducteur à l’utiliser dans toutes les circonstances.
Les questions doubles
Enfin, le dernier piège connu est celui posé par les questions doubles.
Dans ce cas de figure, aucune difficulté particulière, si ce n’est que, parfois, il faut traiter les deux questions dans leur globalité. Tandis qu’à d’autres occasions, il faut traiter les questions de manière indépendante.
Pour obtenir le point, il est nécessaire de répondre correctement aux deux questions. Pas de demi-point accordé donc.