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Aujourd’hui, nous avons décidé de consacrer un article à destination des personnes qui doivent passer le Code de la route en urgence afin d’obtenir le permis de conduire rapidement.
Grâce à WIZBII Drive, nous vous présentons quelques méthodes redoutables pour réussir son ETG en seulement 1 mois.
Qu’est-ce que « le code » ?
En France, le code ou ETG existe depuis 1922. Il s’agit d’une épreuve préalable à l’obtention du permis de conduire, et ce, peu importe la catégorie de véhicule que l’on va conduire.
Durant cette épreuve, à l’aide d’une tablette et d’un casque audio, l’élève doit répondre à quarante questions portant sur l’une des 10 thématiques prévues par la Directive Européenne n° 2006/126 du 20 décembre 2006 dont :
- les règles relatives à l’arrêt et au stationnement,
- l’adoption de l’écoconduite,
- la mécanique du véhicule et ses équipements,
- etc.
Le candidat réussit son ETG, lorsqu’il a commis cinq fautes ou moins durant l’épreuve. Dans ce cas, il pourra passer aux étapes suivantes :
- réaliser les heures de conduite minimales,
- se présenter à l’épreuve pratique (ou conduite).
Quelles méthodes adopter pour réussir son code en 1 mois ?
Les stages intensifs au code
La première méthode que nous recommandons pour obtenir son code en un mois est de s’inscrire aux stages intensifs. Toutes nos astuces pour obtenir son code de la route rapidement.
Plusieurs auto-écoles virtuelles ou physiques proposent ce dispositif particulier qui se déroule dans des centres reconnus par l’État. La plupart du temps, ces formations se déroulent sur trois journées consécutives et pendant 7 heures par jour.
Ce stage en accéléré requiert un investissement personnel important et beaucoup d’efforts. Il ne s’adresse pas uniquement aux personnes qui ont perdu leur permis (invalidation ou annulation), mais également aux apprentis motivés et disponibles.
Dispensés par des formateurs spécifiques et en petit groupe (entre 8 et 10 personnes au maximum), ces stages offrent deux avantages :
- les élèves sont placés dans des conditions similaires à celle du jour de l’examen, en répondant à un QCM à l’aide d’un boitier électronique,
- à l’issue de chaque session, la correction est réalisée en temps réel et donne lieu à une explication entre le moniteur et le groupe en cas de grande difficulté.
En revanche, le gros inconvénient de ce dispositif est le prix : comptez en moyenne entre 350 € et 400 € pour un stage intensif.
Diversifier les sources d’apprentissage
Le code est à la fois une épreuve de mémoire et de logique. C’est pourquoi il est recommandé de multiplier les supports d’apprentissage au lieu de se focaliser sur un seul.
Parmi, les outils qui peuvent fonctionner auprès des élèves, on peut citer notamment :
- les manuels du Code de la route, comme celui des éditions Rousseau ou le fameux « Code de la route pour les nuls » de l’édition First,
- les tests vidéo qu’on réalise à l’auto-école ou sur internet,
- les applications pour smartphones,
- préparer, rédiger et lire à voix haute des fiches de révisions permet de faire travailler sa mémoire visuelle et auditive,
- une étude de cas pratique par vos parents ou vos amis lorsque ces derniers sont au volant ou dans le cadre de la conduite accompagnée.
Apprendre de ses erreurs
Pour réussir l’ETG en un mois, l’élève devra gommer rapidement toutes les erreurs qu’il peut faire lors des tests vidéo.
Pour cela, nous recommandons deux choses.
D’une part, il faut noter, à chaque session de code, les questions ou les thématiques où l’élève se trompe régulièrement. Cette identification va permettre une correction et une progression plus rapide.
D’autre part, lorsque les tests vidéo comportent une correction ou lorsque le moniteur vient apporter une explication à l’une des questions ou des thématiques qui posent problème, il est essentiel de prendre des notes et ne pas hésiter à poser des questions si un doute persiste.
Cette double procédure doit être systématique afin de ne jamais répéter plus de deux fois la même erreur.
Repérer les questions pièges
Les quarante questions de l’ETG sont puisées dans une base de données qui en contient 1000. Le législateur n’a pas prévu de « questions pièges ». Toutefois, certaines d’entre elles peuvent dérouter les élèves au moment de l’épreuve. Il s’agit notamment :
- des questions en deux parties, car il faut trouver les deux bonnes réponses pour remporter le point,
- des questions qui demandent au candidat de différencier la permission de l’obligation,
- des questions qui demandent au candidat une attention particulière et la recherche d’un élément perturbateur au second plan de l’image, comme un cycliste sur un rétroviseur, un piéton qui va s’engager ou une ligne continue.
L’aspect psychologique
Enfin, le dernier conseil de WIZBII Drive est de ne pas négliger l’aspect psychologique. La réussite en un mois de l’épreuve théorique générale passe par :
- se fixer une date pour passer l’examen,
- se créer une routine de révision journalière. Il est plus efficace de travailler le code deux heures par jour en semaine, que dix le weekend,
- changer ses habitudes et optimiser son temps libre. Au lieu de jouer sur son portable ou de regarder un film dans les transports en commun, optez à la place pour une révision,
- et surtout, en cas d’échec la première fois, ne pas se décourager. En effet, le taux de réussite de cet examen est très bas. Seulement 4 personnes sur dix obtiennent le code du premier coup.
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